1932-1939 Période parisienne. Les ultimes années.
Peintures parisiennes.
Alfredo Müller est de retour à Paris. Il continue à peindre. Les toiles des dernières années sont montées sur des châssis italiens 70 x 75 cm et 60 x 60 cm.
Alfredo Müller, Le Pont-Neuf, une toile aux couleurs claires représentative de cette ultime période.
© Les Amis d’Alfredo Müller.
1939 Autour de son décès.
Le 7 février 1939, Alfredo Müller meurt d’une crise cardiaque à son domicile du 23 rue des Martyrs, à Paris.
Son vieil ami Charles Faroux, comme lui billardiste, comme lui curieux de technologie et de culture, créateur des 24 heures du Mans (Grand Prix d’Endurance) publie une notice nécrologique dans deux journaux, le mensuel Le Billard Sportif et le quotidien L’Auto.
Rien dans les revues dédiées à l’art. Rien sur cet artiste dont une toile avait été exposée trois ans auparavant à l’Orangerie, lors de la rétrospective Cézanne. On l’avait prise pour une toile du maître d’Aix… Extrait de la nécrologie parue dans L’Auto du 8 février 1939.